Greenland, porté par le fameux brace de La Chute du Président Gérard Butler et Ric Roman Waugh est le seul blockbuster américain de fifty’été. Et c’est une agréable (petite) surprise.
Greenland est le seul rescapé de la myriade de blockbusters américains attendus cet été. Si au milieu de Tenet et autres Wonder Woman 1984 le cinema catastrophe du duet Gérard Butler et Ric Roman Waugh, tous deux fraîchement sortis de leur cinema d’auteur La Chute du Président serait passé inaperçu, cette pénurie de concurrence lui donne un tout autre éclairage, et ce pour les meilleures raisons.
due south’il sera en effet coutume désormais de féliciter les distributeurs courageux de sortir leurs films dans des salles désertées, Greenland est l’exemple idéal du blockbuster estival réussi, qui en addition de tenir ses promesses, divertit pleinement sans vouloir révolutionner le genre. Après les exploits de Roland Emmerich et Michael Bay dans le cinema catastrophe avec spécialité explosions, Ric Roman Waugh mise sur la sobriété et fifty’efficacité en recentrant son récit non pas sur la comète s’écrasant sur la terre et ses détonations à outrance mais sur la famille comme dernier refuge d’une humanité vouée au chaos total.
Gérard l’acteur
Gérard Butler peut alors sec’avérer tout à fait investi et étonnant dans une prestation sobre et efficace, à fifty’ikon du celluloid, qui le fait rejoindre des actionners à 50’ancienne comme Jason Statham qui à l’instar de notre Gégé à su plusieurs fois se renouveler et faire partie de plusieurs fructueuses franchises. L’acteur peut alors, face up à Morena Baccarin, délivrer son jeu, limité mais prenant, dans un cinema qui mise sur une humilité de fifty’émotion en n’en faisant jamais trop.
Fini donc la bête de violence fauna et sans sentiments. L’acteur comme le reste de sa famille sont mis à nus confront à un climat sec et hostile où la survie importe addition aux protagonistes et au réalisateur qui filme la quête désespérée d’un refuge familial aussi fragile qu’une planète en proie à une comète géante. Son petit budget dédié aux effets spéciaux se trouve alors un parfait ressort pour Greenland qui second’en trouve addition fort et plus authentique dans son approche de fifty’apocalypse terrestre, lorgnant alors volontiers plus vers La Guerre des Mondes que 2012.
La fin du cinema, cependant beaucoup trop longue et attendue, égratignera cependant un peu ce plaisir de divertissement honnête, jamais opportuniste ni promis à autre chose que de remplir son contrat. Espérons tout de même que son fight pour la survie ne résonnera pas dans le vide au milieu des explosions de comètes et des salles désertées.
Greenland est sorti le v août 2020.
Critique écrite par Kantain.